À propos

Mon parcours

Bonjour et bienvenue à tous !

Je m’appelle Clémence et je suis naturopathe.

Je suis née à Lyon, ville que j’ai laissée à l’âge de 5 ans pour grandir ensuite pendant huit ans dans un tout petit village des monts du Lyonnais. J’ai passé mon adolescence en Provence et réalisé mes études supérieures sur Avignon. Fin 2020, j’ai tout quitté pour la région parisienne ; et même si parfois le soleil et les paysages du Sud-Est me manquent, c’est la meilleure décision que j’ai prise puisque je ne m’étais encore jamais sentie à ma place auparavant.

Pour vous partager un peu mes goûts : je ne peux pas vivre sans écouter de musique quotidiennement ; j’ai besoin de ma dose annuelle d’air marin ; j’aime beaucoup lire  et aller au théâtre ; je suis curieuse de l’astrologie ; j’ai un vive intérêt pour la mythologie égyptienne mais aussi les langues anglaise espagnole et italienne avec leurs cultures respectives ; le féminisme et la cause animale sont des luttes qui me sont chères. J’ai très longtemps détesté le sport, mais ce n’est plus le cas du tout aujourd’hui et j’en suis la première surprise ! J’exècre la saison hivernale et je ne supporte pas l’injustice et l’égoïsme.

Mon parcours : chaotique, mais instructif

Après un baccalauréat littéraire qui m’a beaucoup plu, je me suis dirigée sans grande conviction vers une première année de LLCER anglais. J’ai fini par l’abandonner au deuxième semestre, pour rejoindre en cours de route une L1 de droit, que j’ai redoublé l’année suivante, mais qui ne m’a pas non plus convenu. Je dois dire que j’ai eu un peu de mal à trouver ma voie : j’avais aussi hésité avec un BTS en esthétique, un autre en tourisme, décoratrice d’intérieur… pour finalement retourner à l’université (que je n’appréciais pas réellement), cette fois en licence LEA, parcours tourisme & traduction. J’en suis sortie diplômée, et j’ai même eu l’opportunité de partir un semestre à l’étranger dans un cadre peu courant : celui d’une fondation située près de Cape Town, en Afrique du Sud, et qui œuvre pour la protection des guépards.

Je n’avais cependant pas envie de poursuivre mes études avec un master, car le système universitaire continuait tout de même de me déplaire. Je trouvais ça trop individualiste, je voulais davantage de pratique que de théorie, et je ressentais le besoin de prendre mon indépendance. J’ai alors songé à faire une alternance pour être assistante vétérinaire ; mais entre le parcours du combattant pour trouver une entreprise, mon absence de permis de conduire, et la prise de conscience qu’aimer les animaux et travailler avec eux sont deux choses différentes, j’ai finalement abandonné cette idée. J’ai ensuite tenté de décrocher un emploi dans le domaine de mes études.

C’est à ce moment-là que ma vie personnelle a tourné au vinaigre, me rendant inapte à travailler pendant un certain temps. J’ai malgré tout eu l’occasion de faire quelques stages, tout en réfléchissant à d’autres options : une licence professionnelle de bibliothécaire, un an à l’étranger en tant que jeune fille au pair, ou encore un master de traduction en Espagne… jusqu’à ce qu’un nouveau drame survienne et écrase complètement ces plans. Je ne regrette cependant rien, ayant bien conscience qu’il s’agissait davantage d’un désir de fuite de ma part que d’une réelle envie.

La concrétisation

C’est en réalité assez peu de temps après tous ces événements que l’idée de la naturopathie est revenue. J’y avais déjà songé à plusieurs reprises, sans trop savoir néanmoins quelle école choisir en fonction de mes possibilités et de mes moyens financiers. Je me suis finalement lancée dans une formation à distance, dispensée par un organisme reconnu par l’État.

Au vu de ma situation personnelle, cette discipline prenait désormais encore plus de sens que les précédentes fois où elle m’avait attirée. Il m’aura toutefois fallu un an et demi pour vraiment m’y atteler, parce que mes conditions au quotidien étaient trop compliquées pour que je parvienne à avancer malgré mon envie. Tout s’est néanmoins enclenché lorsque j’ai pu quitter le Sud de la France pour Paris, les différents aspects de ma vie s’alignant dans la foulée les uns avec les autres.

Je crois beaucoup aux signes. Je veux dire par là que le hasard me semble parfois trop « gros » pour en être un. Et c’est ce qui s’est passé concernant le massage. De base je n’avais pas pensé à m’y former ; et pourtant déjà toute petite j’aimais bien masser le cou de ma grand-mère donc je sais que j’ai toujours eu une attirance pour cette forme de bien-être mais sans y réfléchir. C’est en me faisant masser un jour dans une période stressante que j’ai vu que l’école de la praticienne portait le nom d’un oiseau qui me suit depuis longtemps ; ça a été le déclic. Quelques semaines après j’apprenais auprès de cet organisme le massage ayurvédique. 

J’ai par la suite continué de me former à d’autres massages : pré-natal et nourrissons. J’ai l’intention d’en apprendre d’autres encore dès que l’occasion s’en présentera car j’apprécie particulièrement le lien de confiance que peut créer le contact physique. En parallèle, j’ai appris auprès d’une naturopathe et d’une pharmacienne à mieux connaître les affections cutanées, ce qui me permet de savoir distinguer les différentes formes existantes et vous guider vers une amélioration de son état de manière globale. Et surtout, je suis régulièrement des ateliers et conférences pour me spécialiser dans l’accompagnement de la féminité (fertilité, grossesse, endométriose, sopk…) à travers différentes approches (phytothérapie, micro nutrition…) tout en me tenant informée des violences sexistes et ses conséquences car j’estime que c’est important à prendre en compte. 

Pourquoi me suis-je tournée vers la naturopathie ?

J’ai parfois l’impression que c’est la naturopathie qui m’a choisie plutôt que l’inverse. Après être tombée un jour sur une affiche à la caisse d’un magasin bio, j’ai pris rendez-vous pour une consultation avec une aromathérapeute qui m’a ouvert les yeux sur la discipline. Comme je l’ai déjà expliqué plus haut, c’est l’ignorance et l’aspect financier qui m’avaient bloqué jusqu’alors, et je dois dire que l’obligation de renoncer à ce qui pourtant m’appelait profondément me rendait triste. Quand j’ai eu mon entretien téléphonique avec le centre de formation où je me suis inscrite quelques années plus tard, j’ai senti que je ne me trompais pas, et mon interlocutrice m’a confortée dans cette idée.

Pourtant, mon environnement n’était pas fait pour favoriser ce choix car je viens d’une famille de médecins et pharmaciens assez critiques sur le sujet des médecines « douces » et « alternatives ». Je mets ces termes entre guillemets, car ils sont à mes yeux incorrects, mais je l’expliquerai plus en détails ailleurs.

J’ai toujours néanmoins eu à cœur de protéger la nature à ma toute petite échelle, et je ne crois pas que nous soyons faits pour « ingurgiter » autant d’éléments chimiques sans conséquences inquiétantes. Or, la naturopathie vise les produits les plus naturels possible pour améliorer et préserver sa santé, tout en nous incitant à réapprendre tout ce que nous avons relégué au second plan : l’exercice physique, la respiration, une alimentation de qualité, la gestion des émotions…

D’autre part, je trouve que la médecine conventionnelle ne fait pas encore suffisamment de lien entre le corps et le mental, même si on a pu constater une amélioration ces dernières années. C’est en cela que les disciplines holistiques me parlent : chaque personne est prise en compte dans sa globalité, on ne fait pas de séparation entre un aspect et un autre de sa vie : tout est interconnecté. Chacun est unique, donc un même trouble ne sera pas forcément traité de la même manière pour deux personnes différentes ; ce qui rend aussi le travail intéressant puisqu’il faut plus de réflexion pour pouvoir toujours s’adapter.

Enfin, la naturopathie s’intéresse davantage à la cause qu’aux conséquences d’un désagrément de santé : tandis qu’un médicament va régler les symptômes, l’origine de ceux-ci, elle, sera toujours là. L’identifier s’avère donc plus efficace pour la guérison, car une fois qu’elle est repérée, comprise et réglée, le trouble conséquent cesse alors de se répéter. Cela demande simplement un peu plus de patience. Comme des fouilles archéologiques !

Et le massage ?

Même si le massage était déjà pratiqué dans l’Antiquité et plutôt en Orient, c’est bien plus tard qu’on l’a vu se démocratiser. Aujourd’hui il n’y a plus besoin de prouver son efficacité : on sait que le massage apporte beaucoup de détente au corps, et donc au psychisme par répercussion. Je trouve cette discipline tout à fait complémentaire à la naturopathie, qui apporte beaucoup de conseils différents pour apaiser le stress, mais qui ne suffit pas toujours : un savoir-faire technique est toujours appréciable. L’anxiété est très répandue dans notre société actuelle où la productivité prime sur le bien-être individuel : une petite pause rien qu’à soi est selon moi sous-estimée. Par ailleurs, beaucoup de personnes manquent d’ancrage, et je remarque que le massage aide beaucoup à reprendre contact avec son corps et avec l’instant présent.

J’ai choisi de me former au massage ayurvédique, d’une part parce qu’il est encore peu connu en France, mais surtout parce que l’ayurvéda rejoint la naturopathie dans sa dimension holistique : il s’adapte ainsi selon les caractéristiques dominantes de la personne qui le reçoit, et celles-ci sont évolutives étant donné qu’elles diffèrent selon les périodes de la vie. Quant aux massages adaptés aux femmes enceintes et aux bébés, c’est tout simplement parce que ce sont des moments de vie très vulnérables (ce qu’on a mis du temps à reconnaître), qui à mes yeux nécessitent beaucoup de douceur.

Mes services

séance de naturopathie

Je vous guide vers un mieux-être en vous donnant des conseils (avec différents outils) pour avoir une meilleure hygiène de vie, importante pour une santé équilibrée.

éducation sexuelle/affective infantile

accompagnements pour les parents et professionnels en demande, conférences, ateliers en petits groupes d'enfants - de 12 ans.

les massages

Un moment de détente d'une durée d'une heure à une heure trente pour apaiser le corps et l'esprit. J'en propose plusieurs : l'ayurvédique appelé abhyanga, la femme enceinte et le nourrisson.

Témoignages

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